Le suppléant (introduction)

Voici là quelque chose qui divise tout le monde !

Pas seulement la famille royale qui semble, comme à son accoutumé, faire front d'un seul corps ; mais divise aussi le public. Que nous fassions le choix ou non de lire l'ouvrage ; chacun y va de son opinion. Surtout, d'ailleurs, ceux qui n'ouvriront pas une page ! Je l'ai acheté et commencé hier ! (26.50 € tout de même !!!) 

J'ai auparavant regardé son inteview, passée sur M6. 
J'y ai vu un enfant traumatisé par la pire chose qui soit ; le décès de sa maman. Sa souffrance complètement occultée au nom des protocoles de la royauté. Un jeune homme qui tente, tant bien que mal, de se différentier du carcan dans lequel on l'enferme volontiers. Et un homme, qui malgré tout ça, a réussi à se reconstruire, avec sa propre famille, qu'aujourd'hui, on lâche en pâture comme on l'avait  fait avec sa mère, lorsqu'elle était toute jeune. Son interview a bien montré que dans son livre, Harry n'était pas là pour régler des comptes, mais pour établir certaines vérités. 
Ce que je trouve absolument extraordinaire ; c'est que mort tragique de la princesse Diana est réellement dû au harcèlement qu'elle a subit par la presse et les médias. Et que c'est en toute impunité qu'on laisse encore cela se produire, à l'encontre de Harry et de sa famille. Je trouve cela tragique et incompréhensible. Souvenons nous de Romy Schneider, lors de la mort de son fils David ; qui avait dénoncé des pratiques scandaleuses, toujours impunies. 

J'ai vu dernièrement, Laurent Ruquier, qui rentrait tranquillement chez lui, se faire véritablement harcelé par un seul individu qui le filmait avec son portable, en tenant des propos ahurissants, l'empêchant de faire son code pour entrer chez lui !!! 
Alors que Harry décide de mettre au grand jour, ce qu'il subit depuis longtemps, n'est pas un règlement de compte ; mais il nous donne une version de sa réalité. Tout simplement. 

De choses montées de toute pièce, inventées, gonflées, et souvent mensongères. 

Je ne voulais pas rester que sur le reportage ; aussi, je préfère lire l'ouvrage.